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Film résumant les activités des fêtes du tricentenaire du Lac-Saint-Jean.
Plans : Troisième partie. Hommage aux paroisses du Lac-Saint-Jean. Ralliement au monument. Les paroisses disent «Présente!» L’antique poudrière. Messe du souvenir en plein air. L’appel des héros. L’hymne national du Canada. Quatrième partie. Souper de tourtière et activités. Musée du tricentenaire. Dans l’après-midi, parade de la jeunesse. Démonstration de gymnastique. Hommage à la jeunesse par le Frère Statonique. Cinquième partie, épilogue. Messe célébrée par le président de la Société historique du Saguenay. Le chant fut rendu par la chorale des Indiens de la Pointe-Bleue. Parade du drapeau, descendu solennellement, il est porté en triomphe. Hommage au drapeau. Danse indienne. Hommage aux organisateurs.
Date
16 au 20 juillet 1947
Ville
Métabetchouan, Desbiens
Région, Territoire
Saguenay-Lac-St-Jean, Québec
Durée
00:36:30
Type
Vidéo
Document lié
Producteur
Inconnu
Format
Film 16 mm
Spécificités
Couleur, Film muet
Nom du fichier
SHS_P002_S09_SS1_P081B
Appareil
RetroScan Universel Mark-11
Résolution
2K
Institution détentrice
Société historique du Saguenay
Fonds/Collection
P002 Collection de la Société historique du Saguenay
Suggestion de référence
Société historique du Saguenay, P002 Collection de la Société historique du Saguenay. (1947). Fêtes du Lac-Saint-Jean (parties 3, 4 et 5) [vidéo]. Consulté sur LaVoute.tv.
Commentaires
carole.gagnon6
7 mars 2023
Dans le vidéo « Fêtes du Lac-Saint-Jean (parties 3, 4 et 5) » à 3m41s, en arrière (en haut) au centre, le frère mariste Barthélemy: Onésime Gagnon (fils de Gaudias Gagnon et Amanda Duchesneau, originaire d’Armagh, ayant vécu à Albanel de 1905 à 1919). Onésime Gagnon est né le 9 février 1897 à Armagh (Bellechasse) et a vécu de 1905 à 1913 (juvénat Iberville) puis fit sa profession religieuse en 1916.
Le Fr. Barthélemy a été enseignant à Montréal : Brébeuf (1916-22), Champagnat (1923-29). Ensuite il fut directeur et professeur à Cap St-Ignace (1929-35); directeur de plusieurs écoles de 1935 à 1962 (dont St-Félicien); puis en 1965, lors de son 50e anniversaire de vie religieuse, il enseignait à Albanel . En 1975, il demeurait à Desbiens. En 1982, il avait cumulé 35 ans à titre de directeur d’écoles. Onésime est décédé le 02 septembre 1989, dans sa 74e année de vie religieuse, à l’âge de 93 ans.
Note: Il a aussi été directeurs de la maison Saint-François-Régis (vers 1961…) Les frères ouvriers de Saint-François-Régis sont issus d’une communauté fondée à Le Puy, Haute-Loire en France, en 1850, par le père jésuite Maxime de Bussy. Leur mission était d’accueillir de petits orphelins et de leur donner une éducation chrétienne tout en les formant aux travaux agricoles. Afin d’échapper aux persécutions religieuses qui sévissaient à l’époque en France, un petit groupe de la communauté décident d’immigrer au Canada. C’est donc avec l’appui de généreux donateurs (dont Broët) qu’ils se sont installés sur des terres au Canton Dolbeau (Lac St-Jean) en 1903. Suite à une loi adoptée par la Législature du Québec, la communauté a dû s’incorporer en 1905, et elle s’affranchie administrativement en 1906, décidant de s’établir à Vauvert (près de Péribonka) sur des terres à nouveau reçues ou achetées de Broët. Ils y fondent en 1907 l’orphelinat agricole Saint-Joseph-du-Lac (abritant aussi le bureau de poste en 1910), puis en 1911 le Juvénat Saint-Tharsicius et Noviciat Saint-Stanislas Kostka. La communauté tire la majorité de ses revenus des produits de la ferme en faisant la culture de plusieurs variétés de céréales et de légumes, contribuant même à populariser la culture plus intensive (autre que pour consommation personnelle et familiale) de la pomme de terre au Lac-Saint-Jean. Ils s’adonnent aussi à l’élevage de vaches, de moutons et de chevaux. Mais bien des difficultés mettent la communauté à l’épreuve : la Première Guerre mondiale (1914-1918), et les années qui précèderont la grande crise économique des années 1930. Puis en 1926, leurs meilleures terres agricoles sont inondées par le rehaussement (barrage) du Lac Saint-Jean, ce qui les contraint à accepter les offres de la compagnie du barrage. Ils iront donc s’installer dans le rang St-Louis entre à Bagotville et Chicoutimi. Une fois leurs nouvelles infrastructures complétées, l’orphelinat de Vauvert fut définitivement fermée en 1938. Au Saguenay, les frères de Saint-François-Régis ouvrent un nouvel orphelinat en 1946 et s’associent à l’Orphelinat de l’Immaculée de Chicoutimi, destiné à des jeunes de plus de 12 ans qui y recevront un enseignement jusqu’à la 9e année. Pour les frères, le travail agricole reste une priorité, mais leurs règles de vie seront toutefois assouplies. En 1959, leur communauté fusionne à celle des Maristes, après une décision prise par les autorités religieuses de Rome. L’orphelinat ferme et les jeunes orphelins sont transférés à Chicoutimi.
Je vous enverrai des photos du fr. Barthélemy par courriel.
carole.gagnon6
8 mars 2023
Dans le vidéo « Fêtes du Lac-Saint-Jean (parties 3, 4 et 5) » de 3m 47s à 3m58s, au centre,: M. Louis Tremblay (fils de François Tremblay et ) et son épouse Mme Élise Larouche (fille de et ), originaires d’Héberville, mais établis à Normandin en 1919.
Il a été un membre fondateur de la société coopérative agricole de Normandin en 1929. Et directeur de la Société d’Agriculture du comté de Roberval pendant plus de 15 ans à partir de 1934.
En 1939, pour sa ‘ferme du Ruisseau Clair ‘ (qui n’est pas celle de la famille Drapeau qui porte actuellement le même nom) du rang 10 à Normandin, Louis Tremblay a reçu une médaille d’argent avec le titre d’officier du Mérite agricole de la province. Puis il se voyait décerner la plus haute distinction pour sa ferme modèle en 1949, soit la médaille d’or avec le titre de Commandeur de l’Ordre du Mérite Agricole et le diplôme du Très Grand Mérite Exceptionnel.
Il a siégé à titre de marguillier pour la fabrique de l’église quelques années vers 1944.
M. Louis Tremblay a été maire de la municipalité du canton Normandin pendant 10 années consécutives, soit de 1947 à 1957.